Travaux publics maritimes et fluviaux

Les « travaux maritimes et fluviaux » regroupent la construction d'ouvrages et les travaux exécutés en mer, en rivière ou sur un plan d’eau intérieur. Ils visent la réalisation d’ouvrages en enrochements naturels ou non, l’aménagement et la régularisation de voies d’eau navigables ou non.

1. nd : non disponible, s : secret statistique, nr : non renseigné
2. Estimations 2008 et 2010 par l'indice de chiffre d'affaires.
3. Estimation 2008 par le taux de VA 2009.
4. 2001-2007 : effectif salarié au 31/12; 2008 : nb de postes rémunérés non annexes dans l'année, établissements d'un salarié ou plus. 2009: effectifs au 31/12.
5. Entreprises actives au 31/12
Sources : 2001-2007 : INSEE/SUSE, SIRENE, secteur 45.2R (code NAF 2003), entreprises de CA supérieurs ou égaux à 0,1 M euros, 2008-2010 : Insee/Esane, secteur 42.91Z, entreprises de 1 salarié et plus
Sont classés comme travaux maritimes et fluviaux :
  • la réalisation de travaux dans l’eau (édification de batardeaux, construction de piles de ponts), de dragage, sous-marins (par scaphandrier ou autre moyen d’intervention);
  • le curage des fossés, l’aménagement des berges et le faucardage.

Ces travaux impliquent des techniques particulières et des matériaux spéciaux. Les travaux maritimes concernent la construction, l’entretien et la maintenance.
Malgré la rupture statistique de 2008, les chiffres-clefs mettent en évidence une chute des exportations en 2009 et 2010 par rapport à 2007. La répartition des réalisations de chantiers par grandes zones géographiques, estimée par l’enquête de la Fédération nationale des travaux publics sur ses adhérents, indique un effondrement des affaires dans l’Union européenne en 2010 (10 millions d’euros, contre plus de 200 l’année précédente), que ne compense pas la bonne tenue des exportations hors Europe.

TP maritimes et fluviaux : répartition du chiffre d’affaires hors métropole (millions €)

Source : FNTP, enquête auprès des adhérents de la fédération