Secteur industriel
5. Construction navale

Le secteur regroupe la construction et la réparation de navires civils et de défense, l’équipement naval et la construction nautique. Ces segments de production se différencient par la spécialisation technologique, la concentration, la taille et la nature des marchés. Mais certaines entreprises se diversifient sur plusieurs segments.

5.1. Construction de navires civils et militaires

Tableau 1. Chiffres-clefs de la construction de navires civils et militaires 1
2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014
Chiffre d'affaires (M€) 4250 3930 ND 3988 3461 3840 4225 4249 4158
Valeur ajoutée (M€) 2 1333 1144 ND 661 872 1143 1298 1316 1124
VACF (M€) 3 1360 1226 820 606 819 1080 1233 1232 1049
Effectif salarié au 31/12 (personnes) 4 20597 18467 ND 11195 12547 13398 14098 14174 14547
Effectif salarié ETP 4 ND ND ND 10228 11015 11379 13081 13120 13579
Nombre d'entreprises 149 151 ND 137 153 135 161 132 163
Exportations (M€) 1411 1538 1138 1395 1572 508 1005 819 907
Taux d'exportation (%) 33 39 ND 35 45 13 24 19 22
  • 1 Données révisées par rapport aux éditions précédentes. Reconstitution des données de navires civils et militaires de 2006 et 2007, calculées séparément dans les statistiques d'entreprises.
  • 2 Valeur ajoutée aux prix du marché, hors taxe, y c. autres produits et charges.
  • 3 VACF: valeur ajoutée au coût des facteurs, y c. autres produits et charges. Jusqu'en 2008: VACF de l'ensemble construction et réparation navale.
  • 4 ETP: équivalent temps plein.
  • ND non disponible

Source : Sources : INSEE/SUSE et SESSI pour 2006-2007, secteurs NAF 35.1A et 35.1B ; micro-entreprises exclues. INSEE/Esane pour 2008-2013, secteur NAF 2008 30.11Z, entreprises de 1 salarié ou plus. Douanes pour les données d'exportations (transactions d'un montant supérieur ou égal à 1000 euros).

Observations

  • Dans un contexte de décélération de la croissance mondiale et de baisse des prix des matières premières, on note depuis 2010 une progression continue mais ralentie du commerce mondial par voie maritime.
  • Les surcapacités du transport maritime sont restées élevées dans la période récente, et sa rentabilité limitée. La baisse des taux de fret s’observe surtout sur les marchés des vracs secs et des conteneurs, les cours du brut ayant permis au transport de produits pétroliers d’échapper à cette évolution ces deux dernières années. Les livraisons de navires étaient en nette diminution de 2011 à 2014 et partiellement compensées par les démolitions. Elles ont augmenté à nouveau en 2015 (source : CNUCED, BRS).
  • Sans atteindre les creux historiques de 2009 et 2012, le total des nouvelles commandes a baissé depuis le rebond de 2013. Dans les détails, la baisse des commandes touche surtout les vraquiers ; les commandes de pétroliers sont en hausse et celles de porte-conteneurs se poursuivent malgré les surcapacités actuelles. Le niveau des commandes de navires spécialisés diffère beaucoup selon les catégories de navires.
  • Les chantiers d’Extrême-Orient dominent largement le secteur de la construction de navires civils. Selon les carnets de commandes de 2015, toutes catégories de navires, la Chine détenait 43% du marché 122 millions de tpl, la Corée du Sud 29% (82 Mtpl), le Japon 22% (62 Mtpl), l’Europe 2% (5 Mtpl), le reste du monde 5% (15 Mtpl) (source : BRS).
  • Les chantiers européens se spécialisent principalement sur les navires à passagers (navettes, ferries, navires de croisière), les navires de servitude et de défense. En 2014, la construction navale de l’UE-28 représentait :
    • un peu plus de 3700 entreprises,
    • un chiffre d’affaires cumulé de près de 27 milliards d’euros,
    • une valeur ajoutée (aux coûts des facteurs) de près de 7 milliards d’euros,
    • plus de 122 000 emplois (source : Eurostat).
    • Avec la Norvège (le plus gros constructeur naval européen par le CA et l’emploi) et la Turquie, l’ensemble représentait plus de 4200 entreprises, un chiffre d’affaires cumulé de plus de 38 milliards d’euros et près de 157 000 emplois.
  • A part les navires de défense, les chantiers français sont actifs dans la construction de navires à passagers, navires de services offshore, services portuaires et pêche.
Tableau 2a. Construction navale européenne : chiffres d'affaires des principaux pays
2014 (Md€) 2010 (Md€)
Norvège 10.4 7.4
Allemagne 5.5 4.9
Royaume-Uni 4.9 3.6
France 4.2 3.5
Italie 3.5 5
Espagne 1.5 3.7
Turquie 1 1.2 1.6
Finlande 0.8 0.8
Roumanie 0.7 0.9
Pologne 0.7 0.8
Croatie 0.3 0.8
Suède 0.2 0.2
  • 1 Donnée 2009 au lieu de 2010.

Source : Eurostat

Tableau 2b. Construction navale européenne : emploi dans les principaux pays, 2014
2014 (milliers d'ETP)
Norvège 27
Royaume-Uni 1 21
Roumanie 18
France 14
Allemagne 13
Italie 11
Espagne 8
Turquie 7
Pologne 5
Croatie 5
Finlande 3
Suède 1
  • 1 Donnée 2011

Source : Eurostat

5.2. Equipement naval

Le secteur de l’équipement naval est fournisseur des chantiers de construction et de réparation et des armateurs. L’activité comprend la fourniture de biens d’équipement et la fourniture de services. La fourniture d’équipement comprend deux catégories :

  • la fabrication d’équipements techniques, notamment appareil propulsif, équipements électriques et électroniques, équipements de manutention à bord, de navigation et de passerelle, pompes, ventilation et climatisation ; la fabrication de peintures ;
  • la fabrication d’équipements montés et essayés, sous forme de modules dans leur environnement technique, ou préfabriqués, et de systèmes complets tels que l’installation de ventilation et conditionnement d’air ou l’agencement des locaux publics et des zones de cabines des navires à passagers.

La fourniture de services comprend des bureaux d’études et sociétés d’ingénierie spécialisées dans la construction navale.

Chiffres-clefs

  • Nombre d’équipements ne sont pas spécifiques à la construction navale et ont des débouchés hors de cette branche. L’activité fait l’objet d’estimations par les association professionnelles et non d’un suivi statistique régulier comme la construction navale.
  • Chiffre d’affaires 2011-2013 : environ 3,4 milliards d’euros, dont équipementiers de navires de commerce (environ 2,1 milliards d’euros) et de navires de défense (environ 1,3 milliards d’euros) (estimations Gican).
  • Effectifs 2011-2013 estimés à 17 700 ; dont environ 13 000 pour la fabrication de biens d’équipement, environ 4 700 pour la fourniture de services d’ingénierie et de soutien (y compris contrôle et classification) (estimations Gican).
  • Valeur ajoutée 2011-2013 : 950 millions d’euros (estimation Ifremer à partir des statistiques sectorielles comptables sur la fabrication de biens d’équipements : codes sectoriels NAF 2008 26, 27, 28)

5.3. Réparation et maintenance navale

L’activité de réparation navale regroupe :

  • réparation et entretien régulier de navires civils et de défense ;
  • réparation et entretien de bateaux de plaisance ;
  • réparation et entretien des plateformes pétrolières flottantes.

La réparation-maintenance est une opération de services, intégrant de la fourniture d’équipements de remplacement, tandis que la conversion est plus proche de la construction navale et majoritairement manufacturière. La réparation se différencie de la construction-conversion par des temps d’intervention plus courts.

Jusqu’en 2007, les statistiques prenaient en compte la réparation-maintenance des navires de commerce. Depuis 2008, elles prennent aussi en compte la réparation des navires de défense et des bateaux de plaisance, ce qui a modifié la population d’entreprises du secteur.

Tableau 3. Chiffres-clefs de la réparation navale
2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014
Chiffre d'affaires (M€) 408 385 441 ND 897 973 911 891 1107 1088
Valeur ajoutée (M€) 1 137 127 145 ND 305 313 282 286 296 312
VACF (M€) 2 1193 1360 1226 820 288 301 269 273 283 299
Effectif salarié au 31/12 (personnes) 3033 2564 2608 ND 6209 5432 4878 5150 5212 5320
Effectif salarié ETP 3 ND ND ND ND 5523 4908 4478 4716 4960 4869
Nombre d'entreprises (entreprises) 4 428 445 433 ND 2220 2283 2080 2378 3163 3477
Exportations (M€) 101 99 140 111 20 8 12 8 12 9
Taux d'exportation (%) 25 26 32 ND 2 1 1 1 1 1
  • 1 Valeur ajoutée aux prix du marché, hors taxe, y c. autres produits et charges.
  • 2 VACF: valeur ajoutée au coût des facteurs, y c. autres produits et charges. Jusqu'en 2008: VACF de l'ensemble construction et réparation navale.
  • 3 ETP: équivalent temps plein.
  • 4 Entreprises de 1 salarié et plus.
  • ND non disponible

Source : INSEE/SUSE pour 2005-2007 (NAF 35.1C, micro-entreprises exclues). INSEE/Esane pour 2008-2013 (NAF 33.15Z, entreprises de 1 salarié et plus). Douanes pour exportations (transactions d'une valeur supérieure ou égale à 1000 euros ou d'un volume supérieur ou égal à une tonne). Rupture statistique de 2008 : depuis cette date, la sous-classe 33.15Z « Réparation et maintenance navale » comprend aussi la réparation, l’aménagement et l’entretien des bateaux de plaisance.

Contexte international

  • Les difficultés sur le marché de la construction navale intensifient la concurrence sur les services de réparation-maintenance en libérant des cales sèches. Cette forte concurrence a contribué à modérer les prix pour les armateurs.
  • Sur ce marché, les chantiers asiatiques, notamment chinois, ceux de Singapour et de Turquie acquièrent des positions fortes.

Contexte européen

  • Les chantiers européens détiennent ensemble environ le tiers du marché des paquebots ; les services de réparation sont coûteux sur de tels navires et produisent des chiffres d’affaires appréciables.
  • Pour l’UE-28, le secteur représentait un chiffre d’affaires cumulé de 9 milliards d’euros en 2014 (source : Eurostat).
  • Hors UE, les pays dont l’activité est de taille significative sont la Norvège (CA de 1,1 milliard d’euros en 2014) et la Turquie (724 millions d’euros). Le chiffre d’affaires de l’ensemble UE-28 + Norvège + Turquie est de près de 11 milliards d’euros.
  • Emploi : 86 000 personnes dans l’UE-28 en 2014. Estimé à plus 117 000 pour l’Europe entière.

La situation est contrastée parmi les chantiers européens. Certains d’entre eux ont connu une baisse de leur activité pendant les années de ralentissement économique (Allemagne, Espagne, Italie). D’autres ont fortement accru leur chiffre d’affaires (Norvège, Royaume-Uni, Pologne, Turquie). L’emploi est à la baisse ou en faible augmentation dans la plupart des pays, sauf en Turquie et au Royaume-Uni où la croissance de l’emploi est forte. On note des différences entre les chantiers d’Europe occidentale et ceux d’Europe centrale : les premiers (Norvège, Royaume-Uni, France) ont des chiffres d’affaires plus élevés que la moyenne tandis que les seconds (Turquie, Pologne, Roumanie) sont présents parmi les plus gros employeurs.

Tableau 4a. Réparation et maintenance navale en Europe : chiffres d'affaires des principaux pays 1
2009 (M€) 2014 (M€)
Suède 289 318
Danemark 300 413
Turquie 410 724
Pologne 396 753
Italie 1037 803
Allemagne 1252 934
Espagne 1059 934
France 903 1088
Royaume-Uni 372 1088
Norvège 948 1122
  • 1 Données des Pays-Bas manquantes.

Source : Eurostat

Tableau 4b. Réparation et maintenance navale en Europe : emploi dans les principaux pays 1
2009 (ETP) 2014 (ETP)
Bulgarie 4021 3841
Norvège 3691 4463
Allemagne 6546 4847
France 5359 4869
Italie 6697 4966
Royaume-Uni 3451 6103
Roumanie 7872 6894
Pologne ND 7184
Espagne 11297 8246
Turquie 15182 25932
  • 1 Donnée 2009 manquante.

Source : Eurostat

5.4. Construction nautique

La construction nautique regroupe la construction de voiliers, bateaux à moteur, pneumatiques à structure souple ou semi-rigide et autres embarcations de plaisance ou de sport telles que barques, canoës, kayaks et skiffs (hormis le matériel pour sports nautiques et les planches à voile).

Tableau 5. Chiffres-clefs de la construction nautique française
2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014
Chiffre d'affaires (M€) 1832 1990 2174 ND 1040 1133 1238 1088 1043 1052
Valeur ajoutée (M€) 1 590 645 719 ND 277 372 372 307 321 337
VACF (%) 2 564 616 688 ND 258 353 351 286 301 317
Effectif salarié au 31/12 11901 12683 12874 ND 8382 7396 7479 6976 6940 6917
Effectif salarié ETP 3 ND ND ND ND 7441 6634 6822 6715 6549 6436
Nombre d'entreprises 1269 1435 1469 ND 352 385 394 390 382 376
Exportations 855 932 1019 932 528 527 631 551 527 582
Taux d'exportation (%) 47 47 47 ND 51 47 51 51 51 55
  • 1 Valeur ajoutée au prix du marché, hors taxe, y c. autres produits et charges.
  • 2 VACF: valeur ajoutée au coût des facteurs, y c. autres produits et charges.
  • 3 ETP: équivalent temps plein.

Source : INSEE/SUSE pour 2005-2007 (secteur NAF 2003 35.1E, y c. réparation de navires de plaisance), entreprises de 1 salarié et plus, sauf micro-entreprises. INSEE/ESANE pour 2008-2013 (secteur NAF 2008 30.12Z), entreprises de 1 salarié et plus. Données manquantes en 2008. Données des Douanes pour exportations (transaction d'une valeur supérieure ou égale à 1000 euros ou d'un volume supérieur ou égal à une tonne). Rupture statistique de 2008 : depuis cette date, la sous-classe 30.12Z « Construction de bateaux de plaisance » ne comprend plus la réparation, l’aménagement et l’entretien des bateaux de plaisance : ces activités sont regroupées avec la réparation navale.

Observations

  • La construction nautique française a été durement touchée par la période de ralentissement économique 2007-2013 et par la baisse de la demande. Elle a rationalisé l’outil de production, les effectifs salariés ayant baissé de 17% de 2009 à 2014 pour un chiffre d’affaires sensiblement équivalent à ces deux dates.
  • Comme l’indiquent les chiffres-clefs, une légère reprise se dessine en fin de période, essentiellement grâce aux exportations.

Le marché du nautisme en France

L’offre

La « filière nautique » regroupe les ports de plaisance, la construction nautique, les équipementiers, les loueurs maritimes et fluviaux, le négoce, la maintenance, l’importation, les sports nautiques et les services associés : architecture, courtage, écoles, gardiennage, assurance, presse (source : FIN).

Selon la Fédération des industries nautiques (FIN), la filière nautique française est passée de 4933 entreprises en 2007 à 5109 en 2013 ; de plus de 45 000 à près de 40 000 emplois ; d’un chiffre d’affaires consolidé de 4,96 à 4,26 milliards d’euros. On retrouve des chiffres du même ordre mais en baisse du début à la fin de la période de ralentissement.

Tableau 6. Répartition régionale de l’activité 1
Part du chiffre d’affaires 2013 (pourcentage)
Méditerranée (PACA, Languedoc-Roussillon, Rhône-Alpes, Auvergne, Corse) 34.2
Grand Ouest (Bretagne, Normandie, Pays de la Loire, Centre) 34.3
Sud Atlantique (Poitou-Charentes, Aquitaine, Midi-Pyrénées, Limousin) 17
Nord-Est (Nord-Pas-de-Calais, Picardie, Île-de-France, Alsace, Bourgogne, Champagne-Ardennes, Franche-Comté, Lorraine) 13.5
Outre-mer 1

Source : Fédération des industries nautiques.

Selon la FIN, la filière française est numéro un mondial pour la production de voiliers et d’équipements de glisse, et numéro 4 pour la production de bateaux à moteur. Par ailleurs, 51% du chiffre d’affaires de la « filière nautique » proviendrait des ventes de voiliers, 45% des bateaux à moteur, 4% des équipements de plaisance divers.

La demande

Les nouvelles immatriculations de bateaux de plaisance, en flux annuels, enregistrent une chute d’environ 50% de 2007 à 2016, qui se ralentit en fin de période. Outre les facteurs propres au ralentissement économique depuis 2007, cet indicateur est corrélé aux arbitrages des ménages en matière d’investissement en biens durables : certains professionnels notent une tendance des plaisanciers à préférer la location à l’achat de bateaux neufs.

Tableau 7. Nouvelles immatriculations de navires de plaisance en eaux maritimes 1
Régions d'outre-mer 2 Territoires d'outre-mer 3 France métropolitaine
2003 763 ND 22261
2004 899 ND 23023
2005 930 ND 23395
2006 1071 1177 24296
2007 1120 1279 25391
2008 1056 1143 23434
2009 962 1046 19443
2010 883 956 19018
2011 862 936 18220
2012 740 847 16465
2013 636 785 13979
2014 622 722 12814
2015 513 592 11757
2016 524 554 11556
  • 1 Nombre d'immatriculations du 1er septembre de l'année n-1 au 31 août de l'année n
  • 2 Régions d'outre-mer : Guadeloupe, Martinique, Guyane, Réunion, Saint-Pierre-et-Miquelon.
  • 3 Territoires d'outre-mer : Nouvelle-Calédonie, Polynésie, Mayotte.

Source : Direction générale des Infrastructures, des Transports et de la Mer

Contexte européen

Le chiffre d’affaires du secteur de la construction nautique à l’échelle de l’UE-28 était de 7,96 milliards d’euros en 2014, pour 4 240 entreprises et 45 400 emplois, dont 42 900 salariés.

La baisse de ces indicateurs est sensible depuis 2008, année où le CA cumulé de l’UE-27 dépassait 11,1 milliards d’euros, pour près de 4 700 entreprises et 61 000 emplois. Les ajustements à la baisse concernent à peu près tous les pays à partir de 2010-2011. Ces évolutions contrastent avec la période faste des premières années 2000.

Tableau 8a. Construction de navires de plaisance : chiffres d’affaires des principaux pays européens
2008 (millions d'€uros) 2011 (millions d'€uros) 2014 (millions d'€uros)
Italie 3762 2199 1626
Allemagne 2108 1899 1602
France 1 1040 1133 1052
Royaume-Uni 697 1095 973
Finlande 420 254 253
Pologne 232 213 227
Suède 389 287 161
  • 1 Donnée 2009 au lieu de 2008.

Source : Eurostat

Tableau 8b. Construction de navires de plaisance : emplois dans les principaux pays européens
2008 (milliers d'ETP) 2011 (milliers d'ETP) 2014 (milliers d'ETP)
Royaume-Uni 1 10.128 10.178 ND
France 2 7.441 6.822 6.436
Allemagne 4.924 5.661 5.996
Italie 11.793 7.98 4.844
Pologne 3 ND 3.91 3.983
Pays-Bas 4.184 4.366 3.848
Finlande 2.671 1.943 1.611
Suède 2.286 1.521 0.87
  • 1 Données d'emplois manquantes depuis 2012.
  • 2 Donnée 2009 au lieu de 2008.
  • 3 Données manquantes jusqu'en 2010.

Source : Eurostat